Le souverain estime que le sacrifice du mouton dans «ces conditions difficiles» serait susceptible de porter préjudice à une grande partie des habitants, en particulier les plus démunis.
Tout en se disant conscient de l'importance de cette fête sur les plans religieux, familiaux et sociaux, le roi a appelé son "peuple à s'abstenir d'accomplir le rite du sacrifice de l'Aïd de ...