Le lieu est chargé d'histoire : d'abord celle de la mine et des mineurs, mais aussi celle des travailleurs forcés et prisonniers des nazis qui y travaillèrent, dont les femmes russes et biélorusses.
Il n’y a plus d’histoire, qu’un enchaînement de sketchs, des gimmicks - les frites, cuites et recuites. Les Tuche ne sont plus que des caricatures d’eux-mêmes, glissant vers l’autoparodie, au point qu ...